Notre revue de presse : le mois de janvier 2023.
Big Brother Bosses
The walls really could have ears (and eyes!)
More and more companies are using ”workforce-monitoring software” to keep a close eye on their employees to try and maintain productivity or prevent theft – and in the current economic climate, this is a tendency which is only increasing.
According to Gartner, a consultancy firm, spending on security software shot up by 18.6% to reach $13.5 billion in 2008, with the market for software which can scan emails for key words and security breaches rising by 50%. Furthermore, sales of software capable of recording information from employees’ computer screens and recording their keystrokes showed the fastest rate of growth.
Firms have different reasons for using this software, including using it to monitor employees who are about to leave either voluntarily or because of redundancy to ensure that they do not take sensitive and important information with them, with financial services firms being particularly vulnerable to the loss of client data, for example.
At the same time, software can help protect employees who unknowingly infect their computers while visiting unsafe websites from compromising the whole network. As an example, a security check by Procter & Gamble found that 3 000 of its 80 000 PCs were infected with ‘botnet’ software – a means of taking external control of a PC network to either crash it or use it as a proxy to send spam.
Productivity can also be measured, for example to identify the rate of ‘presenteeism’ – those employees who are physically present in the workplace but then fail to actually do any work. This is a phenomenon which has been growing during the current recession, when companies under pressure have seen a breakdown in communication between management and staff.
Finally, employees can even be monitored when they are outside the company network and using a company laptop. For example, Purewire and Zscaler offer software which blocks or reports access to specific sites according to the policies of the company’s IT department.
Workforce-monitoring software might provide apparently useful information, but it cannot solve the underlying problems which it might find and in fact, can lead to greater mistrust and affect morale. As Peter Cheese, managing director of Accenture’s talent and organisation practice, says, ”If you have to check on employees all the time, then you probably have bigger issues than just productivity”.
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Les murs ont des oreilles……. et des yeux……
De plus en plus d’entreprises ont recours à des logiciels de sécurité informatique pour surveiller leurs employés. Ces derniers leur permettent de lutter efficacement contre certaines pratiques au sein de l’entreprise.
Selon la société de conseil Gartner, les dépenses de logiciel de sécurité ont bondi de 18.6 % pour atteindre 13.5 milliards de dollars en 2008. En outre, Gartner indique que le marché des logiciels dédiés à la sécurité des systèmes d’information et de gestion (SIEM), a augmenté de 50%.
Le développement des logiciels de sécurité a été si rapide que désormais, les entreprises peuvent surveiller l’écran d’ordinateur d’un employé, et même enregistrer la saisie de son clavier.
Dans certains cas, ce type de logiciel est utilisé pour surveiller les employés en instance de départ, afin d’éviter la fuite des informations sensibles et importantes.
L’utilisation de ces logiciels permet aussi de protéger les employés d’eux-mêmes. Des logiciels malveillants peuvent infecter le réseau informatique d’une entreprise. Les contrôles de sécurité effectués chez Procter & Gamble ont révélé que 3’000 ordinateurs sur 80’000 été infectés par le logiciel Botnet. Ces contrôles ont permis d’identifier les ordinateurs infectés par Botnet et de réagir rapidement.
La surveillance de l’entreprise peut aussi s’exercer au cours des déplacements professionnels de ses employés. Des sociétés comme Purewire and Zscaler ont mis au point des logiciels permettant de contrôler les connexions en dehors du réseau informatique interne. Le département informatique peut ainsi contrôler l’employé qui se connecte à internet depuis sa chambre d’hôtel avec son ordinateur portable.
L’activité effective des employés au bureau peut également être surveillée, afin de déceler ceux qui ne font qu’acte de présence. Peter Cheese, directeur général du département Organisation d’Accenture, confirme que la pratique du « présentéisme » est devenue courante dans les sociétés en difficulté du fait du manque de communication entre le management et les employés.
Il est évident que les logiciels de sécurité peuvent fournir de nombreuses informations utiles, cependant, leur utilisation peut provoquer une perte de confiance mutuelle et dégrader les relations sociales au sein de l’entreprise. Et M. Cheese prévient : «si vous contrôlez en permanence vos employés, c’est que vos préoccupations ne concernent pas seulement la productivité ».
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