L’Université Antilles-Guyane va développer des laboratoires pour l’étude de la biodiversité des espèces. Les politiques prônent ainsi une meilleure protection de la biodiversité des forêts équatoriales boisant la quasi-totalité de la surface de la Guyane et abritant un écosystème d’une richesse biologique exceptionnelle.
En contrepartie, ils annoncent intensifier la lutte contre l’orpaillage clandestin et en destiner les saisies à l’amélioration des infrastructures du pays. Cette mesure semble paradoxale car elle vise à développer la partie industrialisée de la région grâce aux bénéfices d’orpailleurs, lesquels causent des dégâts considérables à l’environnement.
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